Jeunes ruraux. Des mobilités géographiques et sociales différentes des urbains
Les jeunes ruraux sont plus inquiets que les urbains à l’idée de poursuivre des études dans une grande ville. L’aspect financier est un frein : seuls 44 % des campagnards disent que leurs parents pourraient leur payer un logement (52 % pour la moyenne nationale). Ils sont aussi moins encouragés par leur famille à partir étudier dans un autre pays (27 % contre 41 % des Franciliens).
La proportion d’enfants d’ouvriers et d’employés devenus cadres ou exerçant une profession intermédiaire varie presque du simple au double entre la Creuse (24,7 %) et Paris (47 %).
Haut de page
Aller au contenu principal