Start-up. Nantes, le second bassin de recrutement des start-up parisiennes
Nantes, la 6e ville de France, attire de nombreuses start-up parisiennes qui y voient un second bassin de recrutement. Et pour cause : chaque année, près d’un millier d’ingénieurs et de techniciens sortent diplômés des écoles de l’agglomération.
Doctolib va s’y installer et annonce 500 créations d’emplois. Avec lui, Talend, expert de la qualification ou Nickel, entreprise de la FinTech, avaient franchi le pas. Et d’autres devraient suivre. Leurs points de chute : Le Palace (incubateur de start-up) et l’île de Nantes, où se trouve La Cantine (espace de coworking). Adrien Poggetti, son directeur, estime qu’il y a 350 start-up dans l’agglomération nantaise.
L’atout de la ville : être ouverte à la diversification des activités des start-up (énergies, santé, mobilité, agriculture, mer, industries culturelles et récréatives…) avec, en coeur de cible, l’industrie et la santé du futur, précise Nicolas Debon, directeur de l’agence Nantes Saint-Nazaire Développement.